Les ICT évoluent dans un monde du travail où la pression de la performance et des changements organisationnels sont constants. On y parle de plus en plus de risques psycho-sociaux (RPS), souvent confondus avec leurs conséquences sur la santé : stress, burnout, dépression…
Les cadres de l'énergie critiquent le système d'évaluation, jugé peu transparent et basé sur de mauvais critères. 45% des répondants signalent des risques psychosociaux liés à la surcharge de travail et aux méthodes de management. 75% ne se sentent pas associés aux choix stratégiques de leur entreprise. L'Ufict-CGT propose des solutions pour améliorer le management et la qualité de vie au travail.
Un bilan chiffré accablant qui nécessite une véritable révolution culturelle.
L’arrivée de jeunes diplômés est toujours une chance pour nos entreprises. C’est aussi une immense opportunité offerte à ces jeunes ! Mais encore faut-il que cela se fasse dans de bonnes conditions…
Réduire les discriminations de genre est une priorité pour la CGT, et cela devrait aussi l’être pour les entreprises, puisqu’elles ont l’obligation de publier leur index annuel d’égalité professionnelle. Mais ce dispositif est plutôt un outil de communication qu’un véritable engagement à révéler l’ampleur des inégalités systémiques.
A l’aube de la construction d’un nouveau parc nucléaire et de nouveaux défis tels que l’électrification de l’industrie, des bâtiments, du parc automobile… pour lutter contre le réchauffement climatique, Options vous propose de redécouvrir l'histoire du parc nucléaire français au cours du demi siècle passé. Les évènements qui ont précipité sa construction, les choix politiques qui ont jalonné son exploitation, son irremplaçable efficacité pour produire, en temps réel, une énergie pilotable, décarbonée, économique au service de l’ensemble des usagers quand elle est sous tutelle publique…
Derrière les beaux discours, une réalité alarmante…
Nouveauté 2024 : à partir du 1er mai, les jours supplémentaires travaillés seront automatiquement payés ou placés sur CET à défaut de choix avant le 30 juin.
En cette période « post-attribution » des avancements au choix, le réveil est parfois douloureux. Après une augmentation du Salaire National de Base inférieure à l’inflation et une enveloppe d’avancements individuels trop faible, il peut être difficile de rester motivé et il serait même légitime de ressentir de la colère face à si peu de reconnaissance de notre investissement...
En cette année d’austérité salariale, les jeunes embauchés en feront aussi les frais. Pourtant des textes statutaires existent pour favoriser la bonne insertion professionnelle et l’évolution des nouveaux embauchés, mais ils ne sont pas appliqués !
Alors que certains sociologues montrent que si les conditions de travail se sont améliorées avec le temps, grâce en particulier à la prévention de la pénibilité, les conditions du travail se sont détériorées, quand les travailleurs seraient en droit d’attendre du progrès qu’il transforme le travail en en gommant le caractère néfaste pour leur santé psychique et physique.
La pression et le sens au travail risquent encore de se dégrader.
Les directions se réfugient derrière la rémunération globale pour ne pas augmenter les salaires.
Avec la pandémie, les cadres et professions intermédiaires ont expérimenté le télétravail,pour le meilleur… comme pour le pire.
Maintenant, une seule solution : élever le rapport de force !
Il fut un temps où il était rare d’arriver au terme des 5 ans sans avoir eu l’attribution d’au moins un GF. Mais aujourd’hui, l’austérité salariale est imposée par les employeurs : certaines entreprises comme EDF, Enedis ou encore Engie ont fait peu à peu disparaître ces volumes spéciaux d’avancements réservés aux jeunes diplômé.e.s. Rien d’étonnant à ce qu’elles rencontrent des difficultés à fidéliser voire à recruter des salarié.e.s qualifié.e.s !
Malgré son revers au printemps, l'exécutif s'obstine à vouloir fusionner ASN et IRSN
Pour la deuxième année consécutive l'Ufict-CGT a réalisé une enquête d'opinion avec l'institut ViaVoice pour mesurer l'état d'esprit des salariés des entreprises du champ de l'Energie. Pour la première fois cette année, il a été élargi aux techniciens et agents de maîtrise afin de dresser un premier constat de leurs attentes. Ils et elles sont 4460 cadres et 4778 techniciens et agents de maîtrise à avoir répondu en ligne à partir de mai 2023, en plein cœur de la réforme des retraites et dans un contexte global difficile d'inflation et de diminution du pouvoir d'achat. Cette enquête est riche d'enseignements et témoigne d'une opinion globalement négative tant sur la reconnaissance que sur les conditions d'exercice de leur travail.
Une nouvelle intensification du travail par un alourdissement de la charge de travail, un certain nombre de responsabilités ont été transférés de l'employeur vers le salarié...
Les 12 et13 octobre : Mobilisons nous pour des augmentations qui soient à la hauteur !
L’Ufict-CGT, c’est près de 8000 ingénieurs, cadres, technicien.ne.s et agents de maîtrise du secteur des mines et de l’énergie.
Difficile de s’y retrouver et de comprendre les retournements de situation des hommes politiques en matière de nucléaire en France. Alors que, quelques années en arrière, les différents gouvernements voulaient réduire la part du nucléaire à 50 %, ce qui se traduisait par la fermeture de 14 réacteurs… Désormais, confrontés au principe de réalité, ils décident qu’au contraire il va falloir tous les maintenir en fonctionnement et en construire de nouveaux : 6 fermes et peut-être 8 autres soit 14 EPR2 (une évolution optimisée de l’EPR de Flamanville), et tout cela dans l’urgence puisque dès 2035 le premier réacteur de Penly devrait être en fonctionnement. Car électrifier les usages et décarboner notre bilan énergétique ne peut plus attendre !
L’ingénierie d’EDF est au cœur des enjeux de la production électrique d'aujourd’hui et de demain.
