Le débat sur les retraites est parasité par des idées reçues que le gouvernement et le patronat utilisent pour justifier leurs réformes antisociales. La CGT démonte ces arguments fallacieux et réaffirme ses revendications pour un système solidaire, juste et financé.
La CGT a négocié un avenant à l’accord d’intéressement 2025, réclamant un versement plus équitable, un plafond revalorisant 95 % des agents, et un Imax porté à 3500 €. Malgré le refus de la direction sur ces points, la CGT a obtenu le maintien du critère Disponibilité et des avancées sur plusieurs critères sociaux et environnementaux.
La FNME-CGT dénonce l’échec de la prévention amiante chez EDF, malgré des dispositifs théoriques (GNSA/GLSA). Elle pointe des expositions sans protection, des procédures non appliquées, une sous-traitance diluant les responsabilités, et exige une vraie politique de désamiantage centrée sur la santé des travailleurs.
La FNME-CGT dénonce la consultation lancée par la DGEC sur les “barrages virtuels”, perçue comme un cadeau aux acteurs privés au détriment du service public. Malgré un consensus parlementaire pour garder les barrages sous contrôle public, la déréglementation se poursuit. La FNME exige une hydroélectricité publique et décarbonée au service de l’intérêt général.
A l'initiative de la CGT des services publics du 41 , le cinéma Les Lobis organise la projection du film Résidence en Résistance. Ce film décrit une lutte de la CGT pour défendre le maintien d'une crèche familiale et d'une résidence autonomie dans une commune. Cette projection sera suivie d'un débat.
Les ICT évoluent dans un monde du travail où la pression de la performance et des changements organisationnels sont constants. On y parle de plus en plus de risques psycho-sociaux (RPS), souvent confondus avec leurs conséquences sur la santé : stress, burnout, dépression…
Trop d’agents par méconnaissance ne sont pas reconnus en tant que victimes.
Le 5 juin, toutes et tous en grève et dans la rue pour exiger l’abrogation de la réforme des retraites, défendre nos salaires, nos emplois et l’hôpital public. Ensemble, faisons pression par la lutte pour imposer nos revendications !
L’UFICT-CGT dénonce l’injustice de la réforme des retraites pour les cadres des IEG, contraints de travailler jusqu’à 67 ans malgré de longues études. Elle revendique la reconnaissance des années d’études dans le calcul des droits à la retraite, soutenue par 81 % des cadres, et propose un financement socialement juste.
La Cour d’appel confirme que RTE doit appliquer le statut des IEG. La CGT dénonce les manœuvres de la direction depuis 2017 pour contourner les droits des agents. Elle exige l’application immédiate du jugement, le paiement des indemnités et l’ouverture de négociations sur l’évolution professionnelle.
La FNME-CGT alerte sur la fragilité des systèmes énergétiques après une panne massive en Espagne et au Portugal. La CGT critique la dépendance aux énergies renouvelables non pilotables et appelle à un mix énergétique résilient, incluant des moyens pilotables, via un grand service public de l’énergie.
La FNME-CGT appelle à ouvrir des négociations pour un accord de branche sur le handicap dans les IEG. Objectifs : inclusion réelle, embauches ciblées, accessibilité, soutien aux aidants, et harmonisation des pratiques. Elle exige des mesures concrètes pour garantir équité et justice sociale.
La CGT Intérim dénonce une réforme menaçant les droits des salariés permanents des ETT : flexibilisation, mobilité forcée, baisse des indemnités. La CGT conteste aussi les élections chez Adecco et Supplay, entachées d’irrégularités. Enfin, la CGT critique la précarisation des travailleurs étrangers via la liste des métiers en tension.
CCAS ou Avantages IEG ?
Les délégations CGT et CFDT souhaitent par cette déclaration commune, alerter sur un certain nombre de faits et d’agissements qui sont inacceptables d’un point de vue démocratique et morale.
Les cadres de l'énergie critiquent le système d'évaluation, jugé peu transparent et basé sur de mauvais critères. 45% des répondants signalent des risques psychosociaux liés à la surcharge de travail et aux méthodes de management. 75% ne se sentent pas associés aux choix stratégiques de leur entreprise. L'Ufict-CGT propose des solutions pour améliorer le management et la qualité de vie au travail.
Quelles heures sont concernées ?
Vidéo surveillance : Avis défavorable de la CGT, préférant des solutions organisationnelles.
La réunion du 27 mars 2025 a révélé les chiffres de fin 2024 de la DPN : 1004 embauches, 62 démissions, et 392 MEI. La CGT a exprimé des préoccupations sur les objectifs d'embauche de personnel féminin et d'agents en exécution, soulignant le manque de soutien des directions locales. Le dialogue social est tendu, avec des tensions croissantes entre la CGT et les directions des sites. Des expérimentations sur les accords de temps de travail ont été discutées, provoquant la mobilisation des agents. Les primes d'adaptation et les fiches d'exposition sont également des points de friction, les employeurs ne respectant pas toujours les accords signés.
Le Conseil de Politique Nucléaire annonce le projet ASTRID 2 pour fermer le cycle du combustible nucléaire d'ici la fin 2025. La FNME-CGT se félicite de cette avancée vers un nucléaire plus durable, réduisant les déchets et garantissant l'indépendance énergétique. La CGT reste vigilante sur les moyens humains et financiers alloués et les aspects sociaux du projet.
Les résultats financiers 2024 d'EDF sont excellents, mais la CGT critique la répartition inéquitable des richesses et demande un plan de recrutement massif et une réévaluation des salaires. Luc Rémont est remplacé par Bernard Fontana comme PDG. La CGT appelle à la mobilisation contre la réforme des retraites et lance une enquête sur les risques psychosociaux. La CGT critique aussi l'externalisation des activités clés.
La CGT a engagé des discussions sur les modifications des notes de grève depuis plus d'un an. Elle a réussi à faire reculer la direction sur plusieurs points, notamment la rémunération des agents grévistes et la présentation des agents en début de quart. La CGT a intégré ces modifications aux ordres du jour des CSE pour débattre des incohérences et a commandé des expertises juridiques. La CGT demande à la direction de relancer les discussions notamment sur les remplacements de grévistes par des non-grévistes.
Le Conseil d'Orientation des Retraites (COR) propose des changements radicaux aux pensions de réversion et aux majorations pour enfants, entraînant des pertes financières importantes pour les bénéficiaires. La CGT et d'autres organisations ont quitté les discussions, dénonçant des mesures injustes et provocantes. Mobilisons-nous le 3 avril et le 1er mai pour défendre nos retraites et nos droits familiaux !
